Dans la société libérale-libertaire dans laquelle nous vivons, la collusion systématique entre le libéralisme social et le libéralisme économique, maintes fois décrite et décriée dans ce blog a transformé dramatiquement l’image et le rôle de l’homme (partant, du père). Le libéralisme social a, par le féminisme, châtré psychologiquement l’homme, alors que le libéralisme économique, en le poussant à la consommation, l’a physiquement féminisé.
Cet homme féminisé qui constituait auparavant l’exception (poètes, homosexuels, etc.) a tendance à s’imposer comme modèle de référence, notamment chez les jeunes. Il s’agit du « métrosexuel » que nous entendrons au sens le plus large possible.
Le terme métrosexuel, datant des années 2000 renvoie à l’idéal-type de l’homme féminisé. Faisons tout d’abord un peu de sémantique. « Métro » renvoie à métropolitain. En effet, le métrosexuel consomme, et il consomme même beaucoup pour entretenir son apparence physique. Or, où peut-on consommer si ce n’est dans les grandes villes ? L’adjonction à « métro » du terme « sexuel » est plus intéressante qu’il n’y paraît de prime abord. Ce mot doit être entendu dans le contexte de la séduction, de l’attirance sexuelle. L’usage et l’histoire nous apprennent que les hommes conquièrent, et que les femmes séduisent, en mettant en valeur leurs appas par divers artifices. Ainsi le métrosexuel qui ne cherche dans les yeux de la femme que le reflet de sa propre image, n’est qu’un grand narcissique consumériste, utilisant les mêmes techniques que celles qu’il s’efforce de séduire (parfum, jolis vêtements, discours psychologico-affectif), lesquelles le méprisent tout en l’encourageant à persister dans son erreur, à être « différent » (le métrosexuel est parfois persuadé de sortir du moule, de défier le « système », auquel il contribue en vérité beaucoup, plus que les autres, par sa consommation compulsive), à être « gentil » avec les femmes, aliénées comme elles le sont par le l’extrémisme-féminisme ambiant.
Ceci est doublement dramatique, dans la mesure où le métrosexuel vit généralement dans la misère sexuelle, étant donné que les femmes cyniques qui l’entourent se gardent bien de lui accorder leurs faveurs, puisqu’elles préfèrent bien entendu les hommes, les vrais, bien qu’elle se refusent généralement à l’avouer (sauf si le métrosexuel en question est riche, auquel cas il devient bien évidemment beaucoup plus attirant, d’autant plus qu’il est aisément manipulable), et que de plus, narcissique comme il est, il est incapable de découvrir le véritable amour. Plongé dans la misère sexuelle, ne sachant ni d’où il vient ni où il va en raison de son ignorance historique pathologique et de l’incertitude de son avenir, le métrosexuel vit dans l’instant présent, se défonce avec tout ce qu’il trouve pour tromper son mal être chronique. Grand dépressif, il est du reste un énorme consommateur de drogue légale, prescrite par des psychiatres condescendants, et malgré eux complices d’une déchéance de toute une partie de la jeunesse française.
Si le Narcisse grec est né d’un viol incestueux, le métrosexuel est le fils dégénéré du féminisme et du système libéral consumériste, unis par mai 68. L’égalitarisme féministe et la féminisation de l’homme conduisent au rapprochement, à la confusion des genres, ce qui entraîne des conséquences considérables sur le foyer familial, et l’éducation des enfants. Quels pères seront ces narcisses ? Et quelles mères féconderont-ils ? Et enfin et surtout, quels enfants auront-ils ?
Laurent.
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Cet homme féminisé qui constituait auparavant l’exception (poètes, homosexuels, etc.) a tendance à s’imposer comme modèle de référence, notamment chez les jeunes. Il s’agit du « métrosexuel » que nous entendrons au sens le plus large possible.
Le terme métrosexuel, datant des années 2000 renvoie à l’idéal-type de l’homme féminisé. Faisons tout d’abord un peu de sémantique. « Métro » renvoie à métropolitain. En effet, le métrosexuel consomme, et il consomme même beaucoup pour entretenir son apparence physique. Or, où peut-on consommer si ce n’est dans les grandes villes ? L’adjonction à « métro » du terme « sexuel » est plus intéressante qu’il n’y paraît de prime abord. Ce mot doit être entendu dans le contexte de la séduction, de l’attirance sexuelle. L’usage et l’histoire nous apprennent que les hommes conquièrent, et que les femmes séduisent, en mettant en valeur leurs appas par divers artifices. Ainsi le métrosexuel qui ne cherche dans les yeux de la femme que le reflet de sa propre image, n’est qu’un grand narcissique consumériste, utilisant les mêmes techniques que celles qu’il s’efforce de séduire (parfum, jolis vêtements, discours psychologico-affectif), lesquelles le méprisent tout en l’encourageant à persister dans son erreur, à être « différent » (le métrosexuel est parfois persuadé de sortir du moule, de défier le « système », auquel il contribue en vérité beaucoup, plus que les autres, par sa consommation compulsive), à être « gentil » avec les femmes, aliénées comme elles le sont par le l’extrémisme-féminisme ambiant.
Ceci est doublement dramatique, dans la mesure où le métrosexuel vit généralement dans la misère sexuelle, étant donné que les femmes cyniques qui l’entourent se gardent bien de lui accorder leurs faveurs, puisqu’elles préfèrent bien entendu les hommes, les vrais, bien qu’elle se refusent généralement à l’avouer (sauf si le métrosexuel en question est riche, auquel cas il devient bien évidemment beaucoup plus attirant, d’autant plus qu’il est aisément manipulable), et que de plus, narcissique comme il est, il est incapable de découvrir le véritable amour. Plongé dans la misère sexuelle, ne sachant ni d’où il vient ni où il va en raison de son ignorance historique pathologique et de l’incertitude de son avenir, le métrosexuel vit dans l’instant présent, se défonce avec tout ce qu’il trouve pour tromper son mal être chronique. Grand dépressif, il est du reste un énorme consommateur de drogue légale, prescrite par des psychiatres condescendants, et malgré eux complices d’une déchéance de toute une partie de la jeunesse française.
Si le Narcisse grec est né d’un viol incestueux, le métrosexuel est le fils dégénéré du féminisme et du système libéral consumériste, unis par mai 68. L’égalitarisme féministe et la féminisation de l’homme conduisent au rapprochement, à la confusion des genres, ce qui entraîne des conséquences considérables sur le foyer familial, et l’éducation des enfants. Quels pères seront ces narcisses ? Et quelles mères féconderont-ils ? Et enfin et surtout, quels enfants auront-ils ?
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