Affichage des articles dont le libellé est Délinquance. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Délinquance. Afficher tous les articles

dimanche 3 octobre 2010

De l'usage des statistiques ethniques.

Il y a en France un étonnant paradoxe ; il est permis et encouragé aux immigrés ou descendants d’immigrés d’exalter leurs différences, leurs racines afin d’enrichir le multiculturalisme et le cosmopolitisme ambiant, au détriment même de son appartenance première et fondamentale à la Nation française, ou de lutter contre le racisme dont ils sont victime. En revanche, quand il ne s’agit pas de flatter ou de victimiser ces gens, toute référence à l’ethnie ou à la race est considérée comme xénophobe et infâme. C’est toute l’histoire de l’utilisation des statistiques ethniques.

Ainsi, dans les années 90, temps de l’antiracisme triomphant, nombreuses furent les voix qui s’élevèrent contre la prise en compte de l’ethnicité par les organismes comme l’INSEE et l’INED, accusés de favoriser le racisme ambiant par des enquêtes tendancieuses. On se souvient en 2007 du gigantesque tollé provoqué par la loi relative à la maîtrise de l’immigration, à l’intégration et à l’asile, qui prévoyait une disposition permettant le dénombrement des groupes ethniques. Cette dernière disposition fut censurée par le Conseil constitutionnel, qui déclara que « Si les traitements nécessaires à la conduite d'études sur la mesure de la diversité des origines des personnes, de la discrimination et de l'intégration peuvent porter sur des données objectives, ils ne sauraient, sans méconnaître le principe énoncé par l'article 1er de la Constitution, reposer sur l'origine ethnique ou la race », interprétation plutôt large du principe d’égalité devant la loi. Effrayés, L’INSEE et l’INED s’empressèrent de retirer de leurs enquêtes, leurs questions portant sur la couleur de peau.

Mais depuis quelque temps, foisonnent les colloques et les rapports à propos d’une utilisation des statistiques ethniques dans le but de réduire les discriminations et les inégalités sociales. Ces nouveaux antiracistes, soucieux de mettre en exergue les difficultés dont souffrent les immigrés et descendants d’immigrés, se heurtent aujourd’hui aux réserves et aux objections formulées par leurs camarades des années 90 : c’est l’arroseur arrosé. « Ce ne sont pas les statistiques ethniques qui sont mauvaises en elles-mêmes, c’est leur utilisation qui peut être dangereuses ». Ainsi, utiliser les statistiques ethniques pour montrer qu’un maghrébin a moins de chance de trouver un emploi qu’un français dit de souche serait légitime. En revanche, celles qui consisteraient à corroborer une hypothèse stigmatisante sont à bannir. Démontrer que la plupart des délinquants sont noirs et arabes par exemple, c’est prendre le risque de déclencher une tempête médiatique.

C’est le risque qu’a pris Hugues Lagrange. Ce sociologue qui affirme ne pas avoir fait de statistiques ethniques, mais une simple enquête, est loin d’être un théoricien du front national, bien au contraire. Cependant, il a brisé un tabou fondamental. Pour la quasi-totalité de la gauche et pour une partie de la droite, la délinquance serait un pur produit des conditions socio-économiques. A plusieurs reprises sur ce blog (Tremblez en France ; De l'excuse de la pauvreté) nous avons souligné l’importance des facteurs culturels de la délinquance. M. Lagrange confirme assez largement cette hypothèse, en montrant par exemple que ce qu’il appelle les sous-cultures noires sahéliennes sont celles qui s’adaptent le plus mal à la vie en France. Il n’y a de toute évidence, aucun racisme à faire des constats, afin d’apporter des solutions politiques cohérentes et adaptées à des problèmes réels comme la délinquance et l’intégration.

Laurent.

Share

N'hésitez pas à vous abonner à notre flux rss.
Lire la suite ...!

dimanche 18 avril 2010

De l’excuse de la pauvreté et du vivre ensemble : le « Neuf Trois » comme révélateur des escroqueries idéologiques.

Suite à l’affaire Zemmour (Du réflexe pavlovien...), d’aucuns dans les médias ont finalement admis que le constat du journaliste était avéré. C’eût été d’un ridicule incommensurable aux yeux des français que de persister dans le sens contraire. Il fallait alors que les tenants de la bien-pensance trouvassent un autre moyen de critiquer le journaliste du Figaro (ce qui n’est pas, en soi, une mauvaise chose).
Prenons l’exemple de Caroline Fourest, égérie du féminisme stupide et castrateur, mais aussi journaliste politique plutôt ridicule. Dans un article paru dans Le Monde le 23 mars dernier, elle répondit, péremptoire, que « oui, Eric Zemmour, la plupart des petits trafiquants sont noirs et arabes. Non pas parce que le fait d'être noir ou arabe mène naturellement ou culturellement au trafic. Mais parce qu'on a beaucoup plus de chance de devenir dealer de shit que journaliste quand on naît dans des familles pauvres ne misant pas sur la culture ».
Ainsi a-t-elle eu l’honnêteté d’approuver le constat de Zemmour, fût-il expliqué différemment; au moins a-t-elle le mérite d’expliquer son point de vue. (Passons sur le ton arrogant de l’article, sur lequel on pourrait admettre qu’il est de bonne guerre, et mettons de côté le fait que la journaliste prend vraiment son confrère pour un con.)

Pour autant, il me semble nécessaire de répondre à cette argumentation qui est selon moi sans attache sur la réalité; une argumentation fallacieuse, si ce n’est scandaleuse.

Expliquer que la pauvreté engendre irrémédiablement de la délinquance est une escroquerie totale. Qu’elle puisse créer de la violence, l’on est d’accord. Mais les canuts lyonnais ne cassèrent pas volontairement les maisons des français modestes; ils n’avaient pas le RMI et la sécurité sociale en cas de chômage; ils n’avaient pas la quasi-garantie d’une « habitation à loyer modéré ». Alors tonner qu’il faille excuser ces jeunes de brûler les voitures de leurs voisins, c’est assumer sa participation à la culture de l’impunité, de l’irresponsabilité et du pardon perpétuel. C’est surtout contribuer à pérenniser cette situation intenable, qui ne se résout partiellement que par la résignation de ces gens qui fuient la banlieue « chaude ».

Pendant ce temps là, rue Solférino, on scande le « vivre ensemble ».

Raufer explique très bien que, de surcroît, la « Seine Saint-Denis » n’est pas, comme le croient de nombreuses personnes, le département le plus pauvre de la France : citons la Creuse ou le Pas-de-Calais par exemple. Rappelons que, paradoxalement, ces départements ne préoccupent guère les hommes politiques, au contraire de la Seine Saint-Denis auquel on attribue un « plan banlieue » (comprendre la réparation des infrastructures financées par le précédent plan banlieue) à échéance régulière. Et cela, sans résultats concrets. Sans aucune réussite, en réalité. Je me souviens encore des photos de Fadela Amara qui vantait son nouveau plan banlieue, et dans lesquelles on voyait un beau parc avec un joli toboggan pour les enfants. Ah ! si le monde était aussi simple. Quelque temps (parcs) plus tard, un cocktail molotov éclata sur un bus de quartier. Qu’on n’aille pas nous affirmer que ce service public et les gens qui étaient dedans le méritaient ! (Déjà que certains le disent à demi-mot à propos des policiers…)

Mais j’oubliais sûrement que l’on peut voir le verre d’eau du côté plein : un feu de camp, c’est sympa, c’est joli, ça réchauffe ! Avoir peur, ça c’est illégitime, comme on l’entend dans cette même rue du 7ème arrondissement de Paris.

Enfin, soutenons que l’excuse de la pauvreté est d’autant plus comique que les policiers ont retrouvé un million d’euros en liquide, résultant bien évidemment du trafic de drogue, à Tremblay-en-France. Mais soyons bons et excluons cet argument. (En ce sens que mon article répond aux gens qui raisonnent comme Fourest, celle-ci partant du principe que ces « jeunes » n’auraient réellement pas de moyens, ce qui est donc déjà en soi discutable, mais passons.)


La pauvreté a fait naître des consciences de classe solidaires et respectables (notons que, ce n’est pas une surprise, je ne suis pas communiste). La culture de l’impunité, théorisée et appliquée par le gauchisme attardé de Mai 68, est le cadre idéologique de la bêtise de ces gens qui brûlent la voiture de leurs voisins au moins aussi pauvres qu’eux. Elle justifie, au motif de la pauvreté, toute délinquance, comme par exemple le trafic de drogue (Augustin Legrand l’explique fort comiquement : « si j’étais à leur place, je ferais sûrement la même chose »). Mais ce n’est pas tout. Fourest n’évoque que, en bonne bourdieusienne qu’elle est, des causes sociales; or, celles-ci ont montré leurs limites comme je l’explique.
En fait, outre ce cadre idéologique, il y a aussi et surtout un problème lié à l’immigration non contrôlée. J’anticipe tout de suite : je ne dis pas que le fait d’être noir ou arabe conditionne à la délinquance (Zemmour non plus d’ailleurs). Je n’affirme pas non plus que les injustices sociales n’existent pas. Mais l’on ne peut nier, sauf à vouloir balayer toute réalité, l’influence de facteurs culturels et historiques; identitaires. Je prendrais un seul exemple, idéal-typique si j’ose dire : le drapeau algérien calqué sur la carte française, n’est-ce pas l’illustration d’une volonté de colonisation à l’envers ? Peut-on nier que ces jeunes qui arborent le tee-shirt flanqué de ce montage ne se prennent pas pour leurs parents, contre l’oppresseur impérialiste et colonisateur français ? Eux-mêmes le disent, qu’on le regrette ou non. La culpabilisation de la France, autre élément du cadre conceptuel conçu entre autres par Mai 68, nous impose de se soumettre à leur sentiment de révolte. Mais comme se questionne intelligemment Jean-Marie Le Pen, si jamais il devrait y avoir une guerre entre la France et l’Algérie, pour quel pays ces jeunes prendront-ils les armes ?

On excuse tout par la pauvreté, on ferme les yeux sur les phénomènes identitaires et pourtant… La banlieue se désintègre; la guerre civile, malheureusement, n’est pas si éloignée; le vivre-ensemble par le multiculturalisme de Mme Aubry n’est pas et ne sera pas, car il ne peut être.

Sylvain.

Share

N'hésitez pas à vous abonner à notre flux rss.

Lire la suite ...!

dimanche 4 avril 2010

Tremblez en France.

Il est toujours assez divertissant de constater avec quelle cruauté la réalité finit toujours par s’imposer à ceux qui cherchent à l’occulter.

Souvenons-nous : il y a quelque temps le journaliste Eric Zemmour était la cible de la vindicte des hérauts de l’antiracisme (voir à ce sujet notre précédent article : Du réflexe pavlovien illustré par l'affaire Zemmour), qui nous ont martelé qu’affirmer que la plupart des délinquants « sont noirs et arabes » est hautement répréhensible, car raciste. L’antiracisme, cause de rechange après la chute du communisme pour intellectuels en manque de supplément d’âme (citons au passage Alain Finkielkraut « L’antiracisme est le communisme du XXIème siècle »), est fondamentalement nocif, dans la mesure où il tend à nier de graves problèmes sociaux, sous prétexte de ne « discriminer » personne. Or, ce n’est pas en ignorant des problèmes qu’on les règle, bien au contraire : cela tend parfois à les aggraver.

Cette semaine à Tremblay-en-France, en Seine Saint-Denis, deux autobus ont été pris d’assaut par des délinquants. Ce ne sont pas les premiers, ni les derniers. Pourtant, si l’on écoute les discours pontifiants de nos amis antiracistes, il est démagogique (et parfois raciste) de mettre l’accent sur l’insécurité qui règne en France. Mais cette insécurité existe, et elle empirera si on continue de fermer les yeux, de se boucher les oreilles et de se taire. « Et il ne faut pas surtout faire des objections avec les diverses pièces de son ignorance », dirait Stendhal ; une grande partie de ceux qui soutiennent le caractère artefactuel de la sur-déliquance en banlieue n’y connaissent rien, et se contentent parfois de projeter leurs fantasmes sur les cités. Les femmes y admirent les mauvais garçons bronzés et virils qui leurs semblent nettement plus attirants que les loques et les fiottes qui les entourent, alors que les hommes éprouvent une nostalgie de leur virilité perdue (ou volée !), chez ces jeunes résolument mâles, parfois jusqu’à la caricature, qui n’ont de cesse de rappeler aux bobos à quel point ils sont devenus des lopettes.

Il suffit cependant de s’adresser aux gens qui habitent, ou qui travaillent sur place, issus ou non de l’immigration, qui en ont marre de trembler lorsqu’ils rentrent un peu tard, et que des délinquants donnent une mauvaise image des immigrés qui souhaitent s’assimiler, pour comprendre que la réalité est toute autre, et qu’il faut prendre le problèmes à bras le corps, afin de les régler. Mais réjouissons-nous ; l’affaire Zemmour, et les fréquents événements de Seine Saint-Denis ont permis de fragiliser le masque d’argile de l’antiracisme ; à gauche comme à droite, on ne peut plus ignorer les faits, et si on se bat toujours sur les causes de cette délinquance en banlieue (qui a mon avis, sont loin d’être uniquement économique, mais aussi sociales, historiques et culturelles etc.), on est d’accord sur le fait qu’il y a une situation intenable, qui ne peut plus durer.

Mais n’est-ce pas un peu tard ?

Laurent.

- - -

« Celui qui fait preuve de miséricorde envers le cruel se conduira bientôt avec cruauté avec le miséricordieux ». Tirée du Talmud, cette sentence, citée par Zemmour dans son – tristement réaliste – roman Petit Frère, est d’une implacable actualité.

S’il est de notoriété publique que les plus pauvres sont les premières victimes de la délinquance, cela n’empêche pas que les votants du Front National soient fustigés et méprisés.

Voyons ! il ne faut pas manipuler la peur des gens… votez PS ou UMP et patientez; 20 ans de peur quotidienne, ce n’est rien. Ce ne sont que des causes sociales, un plan banlieue fera bientôt ses preuves, il ne faut pas s’inquiéter !

Quant aux pauvres qui ne sont pas délinquants, ils ne méritent aucune attention.

Sylvain.

Share

N'hésitez pas à vous abonner à notre flux rss.
Lire la suite ...!

dimanche 21 mars 2010

Du réflexe pavlovien illustré par l’affaire Zemmour : la Nation victime.

Quand Zemmour expliqua, dans l'émission « Salut les Terriens » d'Ardisson, « pourquoi on est contrôlé 17 fois? Parce que la plupart des trafiquants sont noirs ou arabes, c’est comme ça, c’est un fait » (en réponse à un invité, qui accusait au passage les policiers de racisme, sans que cela « n'émeuve personne » comme le rappelle Zemmour), tout de suite ce fut la déferlante. La LICRA et SOS-Racisme ont déjà porté plainte. Le MRAP a saisi le CSA qui « examine de très près » les propos du journaliste. On songe à le virer de France Télévisions, alors que son atout audience est considérable (c'est d'ailleurs pour ça que, pour l'instant, on l'a gardé). Sans oublier toutes les haines qu'il provoqua, et qu'il provoque toujours.

Eric Zemmour, un raciste ? Mais que ne faut-il pas entendre ! Et pourquoi pas Zemmour antisémite, pendant qu'on y est ! C'est vrai ça, son regard sur Pétain n'est pas celui que l'on devrait tous avoir ; son avis sur l'affaire Dreyfus n'est pas tranché comme convenu ; il ne s'acharne pas sur Maurras, ce pourfendeur des juifs. Il aurait presque tous les critères de l’antisémite selon le dictionnaire gauchiste ! Sauf qu’il est juif.

C'est que la bêtise conserve un minimum d'intelligence. Elle sait que pour rester crédible, il lui faut éviter de tomber dans l'absurdité la plus totale. Mais la bêtise reste la bêtise : le racisme dont on l’accuse n’existe pas. Les propos qu’il a tenus, Malek Boutih, ancien président de SOS-Racisme et prétendant à la présidence de la HALDE, les avait déjà exprimés. Je ne porte pas cet homme dans mon cœur, mais je sais qu’aux yeux de nos petits bien-pensants de gauche, il n’est pas étiquetté « raciste ».

Mieux encore l’explication de Zemmour lui-même : la gauche nous a toujours dit que la délinquance trouve ses origines dans la pauvreté ; cette même gauche nous a ensuite expliqué, depuis les vagues d’immigration, que les immigrés sont touchés par la pauvreté. Dois-je continuer ?
Cette affaire n’est en fait qu’un exemple parmi des milliers et reflète un vice plus large. En effet, comme l’a signalé Laurent dans son excellent article sur l’appauvrissement de la langue (De l'appauvrissement de la langue à la fin de la pensée), les mots et la pensée sont étroitement liés. Dès lors, la guerre sémantique revête une importance majeure. La guerre des mots, c’est une guerre idéologique.

On comprend pourquoi les tenants de la pensée unique gauchisante se sont appliqués à former leur armée composée de petits-bobos en quête de supplément d’âme, vêtus de tee-shirt ou autres médaillons altermondialiste, anarchiste, anti-raciste ou anti-français ; de français « issus de la diversité », plus précisément des français que nos gauchistes ont invité à afficher leur différence ; et également, c’est le plus triste, de simples gens formatés dans la pensée « gaucho-droit de l’hommiste », croyant sincèrement « penser bien » en raisonnant comme on leur dit dans les médias.

Comme dans toute guerre, chaque belligérant a une stratégie. A gauche, elle est bien définie. Les généraux gauchistes ont bien compris la leçon de Nobert Elias : de nombreux actes, manières de vivre et pensées sont intériorisés grâce un « processus civilisationnel ». Sur le plan psychologique, ils ont scruté les travaux d’Ivan Pavlov qui montra que si l’on accompagnait le repas du chien avec une odeur prédéfinie, alors à un moment donné, le chien se mettra à saliver si on le soumet à cette même odeur, sans même qu’on lui amène la nourriture. Il suffira désormais d’asséner pendant plusieurs décennies que toutes critiques de l’immigration ou sur les immigrés cachent (enfin, aujourd'hui, le verbe « prouver » serait même plus adéquat) un racisme, un fascisme. Ainsi le conditionnement pavlovien sera-t-il mis en place. « L’affaire Zemmour » montre que cette tactique est une réussite.

Le pire, c’est que ces gens desservent les immigrés qui désirent réellement s’assimiler. Pourquoi ? Car ils veulent nous faire croire à un monde bisounoursien, où tout serait amour : évidemment, beaucoup de français ne sont pas dupes, et, déçus, ils se replient au point de ne plus croire aux immigrés assimilés, désireux pourtant de se fondre dans la communauté française.

Le creuset français est mort, mais bien sûr, réjouissons-nous, l’immigration est une « chance pour la France »... Pourtant il faut appréhender la question immigratoire pour préserver une Nation, et donc un vivre-ensemble réel fondé sur un « plébiscite de tous les jours », sur un héritage commun, sur une histoire partagée, sur le respect des anciens et artisans de notre histoire et de notre culture, le tout dans le cadre d’un territoire fruit de l’histoire. Mais estimer qu'il faille y réfléchir, c’est prendre le risque de se trouver dans la ligne de mire des gauchistes. Les conséquences ne sont pas des moindres : animosité, mépris, ostracisation voire tabassage... il est dur de penser librement.

Sylvain.

---------------

Eric Zemmour le sait très bien, il a été utilisé par les médias comme un monstre, comme l’idéal type du réactionnaire fascisant, véritable danger latent contre lequel se battent farouchement les hérauts de la pensée unique, pour exalter la tolérance, l’antiracisme, l’écologie, la citoyenneté mondiale, etc. Seulement, les médias croyaient avoir un chien en laisse, mais ont très largement sous-estimé Eric Zemmour, qui a trouvé son audience, ce qui effraie terriblement nos amis bien-pensants, qui traquent à présent chez lui le moindre « dérapage » pour obtenir sa censure.

Cet acharnement sur le journaliste témoigne une fois de plus d’une propension des bien-pensants à fuir les faits, à occulter la réalité des banlieues, dissimulée sous l’égide de l’antiracisme.

Mais en ignorant les problèmes, on ne les règle pas, on les aggrave.

Laurent.

N'hésitez pas à vous abonner à notre flux rss.
Lire la suite ...!